Nouveau voyage, nouveau pays, nouvelle ville. Me voilà donc à Montréal, où l'on parle français de l'autre côté de l'océan et où l'on y alterne l'anglais tout aussi aisément. Pas de doute, je ne suis pas en France.
Une fois arrivée en ville, j'ai un peu peiné pour trouver mon auberge. Les panneaux suivent une certaine logique qu'il m'a fallu une heure pour la comprendre. J'ai donc tourné en rond pendant un petit moment. L'auberge est assez sympa et plutôt propre. Le petit déjeuner est inclu dans le tarif (des petits pains - bagel, muffins anglais, pain de mie - café ou thé). Seul problème : le lit superposé sans échelle. Et bien sûr, je n'avais pas un lit en bas... En fait, tout est grand ici : sur les places assices du bus, mes pieds n'atteignent pas le sol. J'étais crevée le soir où je suis arrivée. Je n'ai donc rien fait le jour même. Je me suis rapidement couchée après une douche salvatrice.
Le lendemain, je devais retrouver deux amis mais pas avant l'heure du déjeuner. Le décalage horaire a fait de moi une personne assez matinale, je me suis levée vers 8 heures du matin. J'ai donc profité de ma matinée pour me promener jusqu'au Vieux Port de Montréal. Je suis ainsi passée par le quartier chinois puis le Vieux-Montréal. Il faisait bon quoique un peu gris, ce qui laissait présager un peu de pluie dans l'après-midi. La promenade était assez agréable même si la ville n'est pas d'une beauté très singulière.
L'après-midi, il a plu. Ça se rapprochait plus d'un douche bien froide qu'à une plûvine ou une simple averse. Avec des amis, l'on a dû se réfugier dans une bibliothèque. Rien d'intéressant, du moins pour vous, ne s'est produit jusqu'au dîner (au sens français du terme). Après en avoir salivé pendant plusieurs semaines, j'ai pu offrir à mes papilles de la poutine, un plat canadien.
La poutine, c'est des frites recouvertes de sauce et de fromage qui ressemble à de la mozarella, en plus caoutchouteux. C'est plutôt bourratif mais pas mauvais après une journée de marche. Et autant vous dire, qu'après en avoir mangé le dessert devient superflu...
Le deuxième jour, il a fait beau avec un joli ciel bleu mais également plus frais. L'hiver arrive. On est allé au Belvédère de Mont Royal dans l'après-midi. Mais le temps nous a manqué. J'ai dû filer pour reprendre la route et aller à Québec, une autre ville.
Le lendemain, je devais retrouver deux amis mais pas avant l'heure du déjeuner. Le décalage horaire a fait de moi une personne assez matinale, je me suis levée vers 8 heures du matin. J'ai donc profité de ma matinée pour me promener jusqu'au Vieux Port de Montréal. Je suis ainsi passée par le quartier chinois puis le Vieux-Montréal. Il faisait bon quoique un peu gris, ce qui laissait présager un peu de pluie dans l'après-midi. La promenade était assez agréable même si la ville n'est pas d'une beauté très singulière.
L'après-midi, il a plu. Ça se rapprochait plus d'un douche bien froide qu'à une plûvine ou une simple averse. Avec des amis, l'on a dû se réfugier dans une bibliothèque. Rien d'intéressant, du moins pour vous, ne s'est produit jusqu'au dîner (au sens français du terme). Après en avoir salivé pendant plusieurs semaines, j'ai pu offrir à mes papilles de la poutine, un plat canadien.
La poutine, c'est des frites recouvertes de sauce et de fromage qui ressemble à de la mozarella, en plus caoutchouteux. C'est plutôt bourratif mais pas mauvais après une journée de marche. Et autant vous dire, qu'après en avoir mangé le dessert devient superflu...
Le deuxième jour, il a fait beau avec un joli ciel bleu mais également plus frais. L'hiver arrive. On est allé au Belvédère de Mont Royal dans l'après-midi. Mais le temps nous a manqué. J'ai dû filer pour reprendre la route et aller à Québec, une autre ville.
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